À la 39ème semaine épidémiologique, la République démocratique du Congo (RDC) a enregistré une augmentation alarmante de cas de choléra, avec 1.384 cas suspects et 48 décès, selon le compte-rendu du 62ème Conseil des ministres tenu vendredi à Kinshasa sous la présidence de la Première ministre.
« À la 39ème semaine, 1.384 cas suspects de choléra, dont 48 décès, ont été notifiés, soit un taux de létalité de 3,8 %. Cette situation marque une aggravation par rapport à la semaine précédente », a précisé le ministre de la Santé publique, Roger Kamba, cité par Patrick Muyaya, ministre et porte-parole du gouvernement lors de la lecture du rapport du Conseil des ministres.
La situation épidémiologique du pays a été présentée par le ministre de la Santé publique, qui a également signalé une amélioration notable dans la lutte contre le Mpox, avec une diminution significative du nombre de cas suspects. Entre la 2ème et la 3ème semaine épidémiologique, le nombre de cas suspects de Mpox a connu une baisse significative, passant de 807 à 366, ce qui représente une diminution de 54,6 %.
Pour faire face à ces épidémies, des actions de riposte sont mises en œuvre, notamment la surveillance épidémiologique renforcée, la prise en charge rapide des cas, la sensibilisation communautaire et la mobilisation des partenaires. D'autres mesures complémentaires ont été proposées au Conseil pour améliorer l'efficacité de la réponse et maîtriser les foyers épidémiques.
Le ministère de la Santé publique a pris des mesures fermes: tout établissement de santé, public ou privé, est désormais tenu de prendre en charge immédiatement toute urgence médicale vitale, sans condition préalable. Cette obligation est inscrite dans l’Arrêté ministériel N°1250 du 17 septembre 2025.
Tout refus d’intervention face à une situation critique expose l’institution concernée à des sanctions légales sévères. Une avancée majeure pour garantir le droit à la vie et l’accès équitable aux soins d’urgence.
Le non-respect des dispositions de cet arrêté expose le contrevenant à :
1. Des sanctions disciplinaires, prévues par la réglementation en vigueur ;
2. Des sanctions administratives, pouvant aller jusqu’à la fermeture temporaire ou définitive de l’établissement fautif ;
3. Des poursuites pénales, notamment pour non-assistance à personne en danger, conformément aux lois de la République.
L’Inspection générale de la Santé est chargée d’assurer le suivi, le contrôle et la mise en œuvre effective de ces mesures. Elle doit également faire rapport aux autorités compétentes et proposer, si nécessaire, des sanctions appropriées.
Enfin, le Secrétaire général à la Santé publique et Hygiène ainsi que l’Inspecteur général de la Santé sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de cet arrêté, qui entre en vigueur à la date de sa signature.
Dans un communiqué de service, la Direction des Ressources Humaines de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) a annoncé ce lundi la détection d’un cas suspect de variole Monkey pox (M-Pox) parmi le personnel de l’Administration Centrale, suite à un diagnostic réalisé à la Polyclinique de l’institution.
Selon le communiqué officiel signé par le Directeur des Ressources Humaines, Jean-Tuma Kanyiki, le patient concerné a immédiatement été transféré dans un centre de prise en charge spécialisé, sur recommandation du Bureau central de la zone de santé de Lingwala.
Ce communiqué de la RTNC présente aussi les mesures préventives contre la variole Monkey pox (M pox) .
Face à cette situation préoccupante, la direction appelle l’ensemble du personnel à la plus grande vigilance. Elle insiste sur l’importance d’observer strictement les mesures préventives communiquées afin de limiter tout risque de propagation au sein du personnel.
Le Ministère de l’Éducation Nationale et Nouvelle Citoyenneté a annoncé ce samedi la mise à disposition des tout premiers diplômes électroniques, dénommés E-Diplôme, accessibles via la plateforme diplome.cd.
Selon le communiqué signé par la Ministre d’État, cette innovation s’inscrit dans le cadre d’une réforme ambitieuse visant à moderniser et sécuriser la gestion des diplômes d’État en République Démocratique du Congo.
« L’objectif est de simplifier et sécuriser l’inscription des élèves dans les universités, tant au niveau national qu’international », a expliqué la ministre, soulignant que le processus repose sur la technologie Blockchain, garantissant ainsi l’intégrité des données et la transparence.
Grâce à ce système, les lauréats peuvent désormais consulter leur diplôme en ligne, préparer leurs inscriptions en toute quiétude et partager leur document sans avoir besoin de l’imprimer. Les universités et autres institutions peuvent vérifier l’authenticité des diplômes simplement via un QR code ou les informations personnelles du candidat.
L’Inspection Générale poursuit également le travail d’intégration des diplômes des années antérieures afin que tous, anciens et nouveaux lauréats, puissent retrouver leurs données sur une même plateforme.
L’application mobile Diplome.cd est déjà disponible sur Android et iOS. Elle représente, selon le ministère, « une étape décisive vers un système éducatif plus transparent, moderne et rigoureux ».
En conclusion, la ministre a adressé ses félicitations aux lauréats de l’édition 2024-2025 de l’Examen d’État, les encourageant à poursuivre leurs rêves avec détermination :
« Nous sommes l’éducation nationale, nous préparons l’avenir de nos enfants, nous construisons la nation. »
Le vice-ministre de l’Éducation nationale, Théodore Kazadi Muayila, a rencontré, au nom de la ministre d’État Raïssa Malu, ce 11 septembre 2025, une délégation de l’Intersyndicale des enseignants, suite à leur préavis de grève.
À l’issue de cette rencontre jugée cruciale, qui a connu la participation notamment du secrétaire général a.i. à l’Éducation nationale, de l’inspecteur général et du DINAP, un compromis a été trouvé.
Les discussions ont porté sur les revendications des enseignants qui, dans l’esprit des recommandations de Bibwa, avaient lancé un préavis de grève avant la rentrée scolaire.
Face aux problèmes soulevés, le vice-ministre de l’Éducation nationale a réaffirmé la volonté du gouvernement de consolider les acquis de la gratuité de l’éducation de base, conformément à la vision du président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Théodore Kazadi a rappelé que la ministre d’État Raïssa Malu attache une grande importance au dialogue permanent, afin de garantir la stabilité du système éducatif.
Les syndicalistes ont salué cette ouverture. Godefroid Matondo Nzuzi, président et porte-parole de l’Intersyndicale des enseignants, a annoncé que le préavis de grève sera retiré dès ce vendredi 12 septembre 2025.
« Lors de notre dernière déclaration, en dehors de nos revendications, nous avons demandé à ce que nous puissions nous retrouver avec leurs Excellences. Et la MinEtat de l’Éducation nationale et nouvelle citoyenneté étant en déplacement, elle a instruit le vice-ministre pour nous recevoir, nous, le bureau de l’Intersyndicale. Nous avions parlé de tous ces dossiers que nous avons présentés. Et, il y a un début de solution. Étant donné que nous avons un début de solution, demain nous allons nous retrouver avec les autres leaders syndicaux pour faire la restitution et fixer l’opinion quant à notre déclaration», a-t-il déclaré.
Le président et porte-parole de l’Intersyndicale des enseignants a salué les avancées réalisées par le gouvernement concernant les solutions aux désidératas exprimées par les professionnels de la craie.
« Les revendications sont nombreuses, mais il y en a certaines qui ont déjà trouvé des solutions. Son Excellence le vice-ministre de l’Éducation nationale et nouvelle citoyenneté} nous a déjà présenté cela. C’est ce que nous allons présenter aux amis… On verra la suite, comme il nous a informés que même au niveau du gouvernement, ils sont en train de se réunir pour trouver la solution à nos revendications. L’assurance est que vous avez suivi qu’il y a trois conseils des ministres dont on a parlé des enseignants. C’est que la situation préoccupe même le chef de l’État. Nous croyons qu’il y aura de bonnes choses pour les enseignants», a précisé Godefroid Matondo Nzuzi.
Cette rencontre s’est déroulée dans une ambiance conviviale, signe que le dialogue est franc, au service de la stabilité du système éducatif de la République démocratique du Congo.
En mission de supervision de la rentrée scolaire, le vice-ministre de l’Éducation nationale, Théodore Kazadi, a posé un geste fort en faveur de la promotion des filles dans l’enseignement technique.
Ce mardi, au deuxième jour de sa tournée, il a visité l’Institut Technique Industriel (ITI) de N’djili où il a distingué Katako Amena, seule fille inscrite en 4ᵉ année dans la section construction. Entourée exclusivement de garçons, cette élève incarne le courage et la détermination dans un domaine encore largement dominé par les garçons.
Au nom de la ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale et de la Nouvelle Citoyenneté, Raïssa Malu, le vice-ministre Kazadi a annoncé que l’État prendra en charge l’intégralité des frais scolaires et connexes de Katako Amena pour l’année en cours.
Cette initiative vise à encourager les jeunes filles à intégrer les filières techniques et industrielles, secteurs jugés stratégiques pour le développement économique de la République Démocratique du Congo.
Les élèves ont repris le chemin de l’école en République démocratique du Congo ce lundi 1er septembre 2025. Le coup d’envoi officiel a été donné à Muanda, dans la province du Kongo Central, par la ministre de l’Éducation nationale et nouvelle citoyenneté, Raïssa Malu. À Kinshasa, la rentrée scolaire a été supervisée par le vice-ministre de l’Éducation nationale, Théodore Kazadi.
Accompagné du conseiller spécial du chef de l’État en matière d’éducation, du ministre provincial de l’Éducation de Kinshasa, du secrétaire général ai à l’Education nationale, de plusieurs directeurs et chefs de services, des inspecteurs généraux adjoints, des PROVED, ainsi que des IPP et DIPROSEC de provinces éducationnelles concernées, il a visité plusieurs établissements, notamment l’Athénée de la Gombe, le Lycée Bosangani, le Collège Boboto, l’Institut Bokeleale, le Lycée Shaumba, l’Institut Dialanda, le Lycée Toyokana, le Complexe scolaire Cardinal Malula, le Complexe scolaire Mukengeli et le Collège Saint Raphaël.
Dans ces écoles, Théodore Kazadi a parcouru plusieurs salles de classe où il a constaté que les cours ont réellement repris.
Le vice-ministre de l’Éducation nationale a encouragé les élèves à l’assiduité et leur a rappelé que le chef de l’État accorde une attention particulière à leur formation.
C’est dans ce cadre, a-t-il souligné, qu’il a initié la gratuité de l’enseignement et veille désormais à sa qualité.
« Nous représentons le gouvernement de la République, en supervision pour se rassurer que la rentrée scolaire est effective. Merci aux élèves, merci surtout aux parents. Le chef de l’État, Son Excellence monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, attache une attention particulière à l’éducation de nos enfants que vous êtes. Madame la première ministre attend de nous le rapport de la rentrée scolaire telle que prévue dans le calendrier scolaire 2025-2026. Nous sommes très heureux de constater que le personnel enseignant ainsi que les élèves, vous avez tous répondu ici présents. Nous repartons d’ici avec le sentiment de satisfaction», a déclaré Théodore Kazadi, à l’étape du Collège Boboto.
Le vice-ministre a rappelé que le lancement officiel a été donné par la ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale et nouvelle citoyenneté, Raïssa Malu, à Muanda.
« L’Excellence madame la ministre d’État, ministre de l’Education nationale et nouvelle citoyenneté, madame Raïssa Malu, est pour l’instant dans le Kongo Central pour le même exercice. C’est par là qu’elle lance officiellement la rentrée scolaire pour cette année 2025-2026. Elle m’a demandé de vous saluer, de vous encourager et par vous, d’ encourager vos parents. Je vous souhaite une bonne et heureuse année scolaire», a précisé le vice-ministre de l’Éducation nationale.
De son côté, le ministre provincial de l’Éducation de Kinshasa, Jeannot Canon, a rassuré les élèves que le gouvernement provincial avait pris toutes les dispositions nécessaires pour assurer leur sécurité tout au long de l’année scolaire.
A l’issue de cette ronde, Théodore Kazadi et les responsables de l’éducation nationale qui l’ont accompagné ont procédé à une évaluation à mis-parcours. Ils ont relevé que la rentrée scolaire a été effective dans toute les écoles visitées à Kinshasa. Il a demandé à chaque province éducationnelle de communiquer à la hiérarchie le nombre d’écoles ayant effectivement rouvert les portes et fonctionné au premier jour de la rentrée scolaire 2025-2026 ainsi que le nombre d’élèves reçus.
Ce mardi 2 septembre, le vice-ministre de l’Education nationale va poursuivre sa mission, cette fois-ci dans les provinces éducationnelles de Tshangu et Plateau.
Le Gouverneur de la province du Kwango, Willy Bitwisila Lusundji, a officiellement déclaré l’épidémie de choléra dans la zone de santé de Boko, territoire de Kenge, ce samedi 23 Aout 2025, après confirmation par l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) de plusieurs cas positifs.
Selon les données sanitaires, depuis la 30ᵉ semaine épidémiologique (21 au 27 juillet 2025), des cas suspects ont été signalés dans les aires de santé de Dinga, Muyalala, Pont-Kwango et Unissons-nous.
Sur neuf échantillons prélevés et analysés, quatre se sont révélés positifs au Vibrio cholerae 01, dépassant ainsi le seuil fixé par l’OMS pour déclarer une épidémie dans une zone non endémique. À ce jour, Boko enregistre 20 cas suspects, dont 4 confirmés et 4 décès, soit une létalité préoccupante de 18 %.
» Le choléra est une maladie bactérienne grave se transmettant par voie oro-fécale, notamment à travers l’eau ou les aliments contaminés. Il peut provoquer une déshydratation aiguë et entraîner la mort en quelques heures s’il n’est pas rapidement pris en charge », a rappelé le gouverneur Willy Bitswila.
Face à cette menace, l’autorité provinciale appelle la population à observer rigoureusement les mesures d’hygiène, parmi lesquelles : se laver régulièrement les mains avec de l’eau propre et du savon, boire exclusivement de l’eau bouillie ou chlorée, couvrir les aliments pour les protéger des mouches, éviter les repas crus ou mal cuits, et utiliser des latrines propres pour mettre fin à la défécation à l’air libre.
Willy Bitwisila a par ailleurs exhorté les habitants du Kwango à diriger toute personne présentant des diarrhées ou vomissements vers le centre de santé le plus proche, et à commencer la réhydratation à domicile avec une solution de sel de réhydratation orale (SRO) ou une solution faite maison à base d’eau propre, de sucre et de sel.
« Ensemble, mettons fin à la propagation du choléra dans notre province », a insisté le Gouverneur, tout en rassurant que les services médicaux provinciaux sont déjà mobilisés, avec l’appui des partenaires, pour contenir l’épidémie et sauver des vies.
Un homme se faisant passer pour une autorité éducative, véhiculant des informations pour le compte de l'Inspection Générale de l'Éducation Nationale et Nouvelle Citoyenne, a été repéré le vendredi 08 août 2025, à Kinshasa.
"Nous tenons à vous informer qu'un imposteur et usurpateur, nommément identifiée, sous le nom de Gentil Mwanza, véhicule des fausses informations au nom de l'Inspection Générale de l'Éducation Nationale et Nouvelle Citoyenneté", a-t-on lu sur le compte X du ministère de l'éducation.
D'après le communiqué du ministère, cet imposteur ne se limite pas qu'à véhiculer des fausses informations mais il va jusqu'à escroquer les citoyens au nom d'un prétendu recours des résultats d’examen d'État contre de l’argent.
"Cet usurpateur, se faisant passer pour une autorité éducative, escroque de paisibles citoyens au nom d'un prétendu recours des résultats d’examen contre de l’argent", a précisé le communiqué.
A Kinshasa, ce phénomène est récurrent surtout pendant la période de publication des résultats d'EXETAT. Des imposteurs se pointent en tant qu'agents de l'Inspection Générale de l'Éducation devant les plus vulnéra, en l'occurrence ceux qui ont échoué afin de leur présenter d'autres moyens auxquels ils doivent recourir pour réussir.
"Aucun point ne s’achète, aucun résultat ne se négocie et toute tentative d’achat ou de vente constitue une infraction grave et expose son auteur à des poursuites judiciaires", a informé le ministère de tutelle.
La situation épidémiologique du MPOX en République Démocratique du Congo reste préoccupante, selon les données publiées par le ministère de la santé pour la semaine 28.
À ce jour, 608 nouveaux cas suspects ont été investigués, s’ajoutant à un total cumulé de 92 475 cas suspects et 26 800 cas confirmés à travers le pays.
Face à cette progression, la riposte nationale se poursuit avec détermination. Les autorités sanitaires annoncent que 603 338 personnes ont déjà été vaccinées, un chiffre qui témoigne de l’engagement fort du gouvernement et de ses partenaires pour contenir la propagation de la maladie.
Les provinces les plus touchées restent la Tshopo, le Sankuru, l’Ituri et le Bas-Uele, où les efforts de prévention et de sensibilisation sont intensifiés.
Le ministère de la Santé appelle la population à rester vigilante et à faire preuve de responsabilité individuelle et collective. La lutte contre le MPOX est l’affaire de tous, et seule une collaboration active entre les citoyens, les autorités et les structures sanitaires permettra de vaincre cette épidémie.
La situation épidémiologique du choléra en RDC suscite de vives préoccupations. Selon les données officielles du Ministère de la Santé, rendues publiques ce lundi14 juillet, 2085 cas ont été notifiés sur le territoire national, marquant une augmentation de près de 19 %.
Le bilan humain est également alarmant : 95 décès ont été enregistrés en lien avec l’épidémie. Sur 83 échantillons analysés en laboratoire, 35 se sont révélés positifs, soit un taux de positivité de 42 %, confirmant la propagation continue du choléra dans plusieurs zones à risque.
Face à cette montée en flèche, le Gouvernement réitère son engagement à travers le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale, et appelle à la vigilance maximale de la population.
« La mobilisation de tous est nécessaire. Nous demandons à chaque citoyen de respecter rigoureusement les mesures d’hygiène, notamment le lavage fréquent des mains, la consommation d’eau potable et la préparation sécurisée des aliments », indique la publication du ministère de la santé.
Les autorités insistent : la lutte contre le choléra reste un combat collectif.
En marge de la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail célébrée chaque 28 Avril de l'année, Oscar Mavila, Directeur du Programme National de la Santé au Travail appelle les travailleurs de la République Démocratique du Congo au contrôle médical régulier.
