Après une sortie médiatique brutale, la CENCO recadre Bemba, affiche à la Une ' *CONGO NOUVEAU* ". Dans une déclaration vidéo diffusée hier jeudi, Monseigneur Donatien Nshole, secrétaire général de la CENCO, a dénoncé des « inepties », qualifiant les accusations de Bemba d’« irresponsables et dangereuses ».
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Des délégués venus de RDC et du Rwanda sont à nouveau attendus cette semaine à Washington. L'objectif explique " *RFI.FR* ", est de poursuivre les négociations de paix entre les deux pays.
Affaire de détournement de 39 millions de dollars, le parquet Général près la cour de cassation, révèle "LE *JOURNAL* ", a émis un avis de recherche à l’encontre de Willy Musheni Enemi, présenté comme un proche collaborateur et complice présumé de Constant Mutamba, dans une vaste affaire de détournement de fonds publics portant sur plusieurs millions de dollars
américains destinés à la construction d’une prison de haute sécurité à Kisangani
dans la province de la Tshopo.
Alors que son ex-collaborateur, Willy Musheni, co-propriétaire de l’opaque Zion Construction, est activement recherché,
Mutamba, écrit " *ECONEWS* ", tente une dernière manœuvre en récusant le procureur général. La chute du Garde des sceaux semble désormais inéluctable, estime le tabloïd.
Convaincu qu’il s’agit d’un acharnement et d’un complot politique pour en finir avec un adversaire ombrageux, Constant Mutamba, renchérit " *LE PHARE* ", se sens en droit d’empêcher la partialité et celle des magistrats afin de bénéficier d’une instruction juste et non intéressée par les magistrats d’un autre parquet et ce, pour éviter une justice instrument du règlement des comptes politiques.
La décision de Constant Mutamba, souligne " *LA MANCHETTE* ", intervient au
moment où le Procureur près la Cour de cassation, a sollicité le 9 juin 2025, une
autorisation de l'Assemblée nationale pour engager des poursuites judiciaires contre Constant Mutamba accusé de détournement présumé de 19 millions de
dollars américains destinés à la construction d'une prison à Kisangani.
Pour " *LA PROSPÉRITÉ* ", le sort du ministre
Mutamba semblé scellé après son absence à la troisième audience du Parquet Général près la Cour de cassation.
C’est à cette occasion qu’il devait présenter ses derniers moyens de défense avant de fixer l’affaire devant la Cour.
Justice encore. Le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Matete a condamné hier mardi 9 personnes à la peine de mort pour le meurtre de Célestin Kabasele Wampanga, cadre de l'UDPS, tué après une violente agression. D'après " *INFOS27* ", deux accusés ont été acquittés, tandis que
les condamnés devront verser 200
000 dollars à la mère de la victime.
Dans le reste de l'actualité. Conformément aux prescrits de la Constitution, la XIIe conférence des gouverneurs a démarré hier mardi à Kolwezi dans le Lualaba. Selon " *L'AVENIR* ", ces assises de quatre jours autour du thème: " la santé comme facteur de cohésion sociale et de développement durable des provinces ", sont présidés par Félix Tshisekedi.
Cette rencontre annuelle explique " *LEPOUVOIRDUPEUPLE.COM* ", réunit les gouverneurs, vice-gouverneurs, présidents des Assemblées provinciales, ministres sectoriels et experts des institutions, sous la présidence du Chef de l’État.
À Kolwezi, en ouvrant la 12ème Conférence des Gouverneurs, Félix Tshisekedi, ajoute " *INFOS27* ", a placé la couverture santé universelle au cœur de la cohésion sociale, appelant les provinces à
s'emparer de cette priorité. Une démarche volontariste qui traduit une vision : ancrer la RDC dans un développement humain équitable et durable, au moment où le pays doit affronter de profondes inégalités sociales et territoriales.
Par ailleurs, renchérit " *LA RÉFÉRENCE PLUS* ", Félix Tshisekedi a exhorté les gouverneurs à intégrer systématiquement la question de la santé, principalement la Couverture santé universelle dans leurs politiques publiques, en tant qu'acteurs directs dans le déploiement de ce programme à l'intérieur du pays.
Dans un mémorandum adressé au
président de la République et lu par
Jacques Kyabula, gouverneur du Haut-Katanga et vice-doyen, les gouverneurs de provinces, rapporte " *LA PERCÉE* ", ont sollicité le paiement régulier des émoluments des députés provinciaux.
Projet d'assassinat contre Tshisekedi et caches d'armes chez Katumbi, pour " *CONGO NOUVEAU* ", Jean-Pierre Bemba a menti. Ces allégations, souligne le trihebdomadaire, ont été balayées autant par Francis Kalombo que Christian
Lisakueno lui-même après vérification des faits.
Pour " *AFRICANEWS* ", Bemba bousille les efforts de Tshisekedi. Alors que la RDC tente de reconstruire une cohésion nationale à travers des processus de dialogue internes et externes, Jean-Pierre
Bemba, semble avoir opté pour une autre trajectoire: celle de l’obstruction systématique. À coups de déclarations incendiaires, répétitives et parfois
délirantes, l’ancien vice-président fragilise les efforts du président Félix Tshisekedi.
Un avis partagé par " *ECONEWS* " qui affirme que cette sortie qui discrédite subtilement l’initiative de Fayulu, pourtant soutenue par l’Église, visant à créer un « Camp de la patrie » contre la crise nationale.
Réagissant aux attaques formulées contre la CENCO, Mgr N'Shole, cité par " *FORUM DES AS* ", demande à Jean-Pierre Bemba de "publier les preuves de ses allégations
Situation sécuritaire dans l'est du pays, encore et toujours. Selon " *LE PHARE* ", qui cite l’agence de presse britannique, Reuters, Washington exige le retrait des troupes rwandaises sur le territoire congolais avant toute signature de l'accord de paix entr me la RDC et le Rwanda.
Nous terminons cette revue de presse avec cette nouvelle qui concerne l'artiste Koffi Olomide. D'après " *INFOS27* ", son concert initialement prévu le 19 juillet 2025 à l'hippodrome de Vincennes, a été officiellement annulé. À ce jour, les véritables raisons de cette annulation n'ont pas été communiquées. Le site de l'hippodrome mentionne néanmoins clairement que l'événement n'aura pas lieu.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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La RDC signe une double victoire diplomatique aux Nations Unies en 24 heures, écrit " *LE PHARE* " qui rappelle que le lundi 2 juin, la RDC a été élue à la vice-présidence de la 80eme session de l’Assemblée générale de l'ONU qui se tiendra à partir du 9 septembre 2025
Présence de l’ancien chef de l’Etat à Goma
Martin Fayulu tente de raisonner Joseph Kabila, affiche à la Une " *VRAIE-THEMATIQUE* ". Dans son discours, le président du parti Ecidé a appelé Joseph Kabila à mettre fin à toute collaboration avec la rébellion du M23-AFC et à quitter la ville de Goma, actuellement sous occupation.
À travers ce message intitulé " Appel à la responsabilité ", Martin Fayulu, affirme " *LA RÉFÉRENCE PLUS* ", s'est adressé directement à trois figures clés de la scène politique: Félix Tshisekedi, Joseph Kabila et Corneille Nangaa.
Pour " *LE PHARE* ", Martin Fayulu prêche dans un désert au sujet du dialogue, Tshisekedi-Kabila-Nangaa. Les observateurs avertis sont d’avis que le leader de l’Ecide s’est lancé dans une mission impossible. Il aura beau prêcher la réconciliation nationale, le dénouement de la crise sécuritaire de l’Est par le dialogue, le respect de l’intégrité territoriale et de
la souveraineté nationale de la RDC, le message va se perdre dans un désert.
Dans un message lundi à la nation, Martin Fayulu, écrit de son côté, " *OURAGAN* ", a distribué les cartons rouges à Kabila et Nangaa. L'ex-candidat aux présidentielles de 2018 et 2023 a proposé, par contre, une rencontre directe avec le chef de l'État, sans condition ni calcul.
Tshisekedi répond à l'appel de Fayulu pour sauver la Nation, barre à la Une " *INFOS27* ", Loin des clivages politiques, ce moment marque peut-être l'émergence d'un nouveau souffle républicain centré non sur les hommes, mais sur l'idéal de la
République.
Le décor ainsi planté par Tshisekedi et Fayulu, est selon " *LA PROSPÉRITÉ* ", la configuration du nouveau paysage politique qui pointe à l’horizon. Sans nul doute, la dynamique enclenchée par le patron de l’Ecidé ne manquera pas de trouver un échos favorable auprès de certains partis politiques alors qu'il existe un autre schéma de la CENCO et l'ECC pour un dialogue.
Réaction plus contrastée dans le camp de Moïse Katumbi, autre opposant et jusqu’ici allié de Martin Fayulu. Le porte-parole du parti Ensemble, Hervé Diakese, relayé par " *RFI.FR* ", a pour sa part estimé que « Désormais, nous avons une opposition de connivence et une opposition de rupture, à côté d’une opposition armée ».
De son côté, Moise Moni Della, cité par " *FORUM DES AS* ", a salué la position de Martin Fayulu de répondre à l'appel patriotique, pathétique et démocratique
lancé par le chef de l'Etat pour la cohésion nationale". C'est ici l'occasion, a-t-il ajouté de demander à d'autres acteurs politiques et sociaux de rejoindre le camp de la patrie
sous le leadership éclairé du président Félix Tshisekedi, en dépit de nos différences et de nos divergences.
L'ODEP détaille sa proposition de «dialogue national». Dans le document consulté par " *OURAGAN* ", il est souligné la nécessité de rompre avec les pratiques du passé et de construire une cohésion nationale fondée sur une justice équitable, une sécurité
partagée et un développement inclusif.
En Justice. Mutamba convoqué au Parquet près la Cour de cassation ce mardi, nous apprend " *INFOS27* ". Dans le cadre des enquêtes sur le présumé détournement de deniers publics destinés à la construction d'une maison d'arrêt à Kisangani, le ministre de la Justice et Garde des sceaux, Constant Mutamba, est attendu, ce mardi 3 juin au Parquet général près la Cour de cassation. L'invitation lui a été transmise hier lundi.
Il s’agit, selon " *LE JOURNAL* ", d’une convocation qui intervient après l’autorisation formelle de l’Assemblée nationale, donnée le 29 mai dernier, donnant le feu vert à l’ouverture d’une instruction judiciaire à son encontre
Alors qu'il est prévu de se présenter devant la justice ce mardi 03 juin, des sources de " *FORUM DES AS* ", affirment que le ministre de la Justice, Constant Mutamba ne se présentera pas devant le Procureur général prés la Cour de cassation, Firmin Mvonde Mambu pour être entendu dans le dossier de détournement présumé de 19 millions des 39 millions de dollars destinés à la
construction d'une prison à Kisangani.
Et puis, l''Assemblée nationale, rapporte " *INFOS27* ", a installé hier lundi, le bureau de la commission spéciale et temporaire chargée de statuer sur le réquisitoire du Procureur Général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde, contre
le député national et ancien Ministre des Finances, Nicolas Kazadi. Le bureau devra présenter son rapport à la chambre basse du parlement dans 72 heures, pour permettre aux députés nationaux d'autoriser ou refuser la levée des immunités de leur collègue Nicolas Kazadi, et permettre au Procureur Général Firmin Mvonde d'ouvrir une poursuite judiciaire pour des griefs lui reprochées.
Cette commission ajoute " *LE POTENTIEL* ", est dirigée par Raphaël Kibuka Kia Kiese comme président, Marie-Josée Niongo
Nsuami occupe le poste de premier vice-président, Denis Kashoba Kabonshi nommé, deuxième vice-président. Pierre
Sumey Kitenge est le rapporteur et secondé par Pierre Bokundu Mukuli.
Parmi les griefs relevés contre Nicolas Kazadi, rappelle " *FORUM DES AS* ", la banalisation de l'orthodoxie budgétaire, le financement de projets improductifs à des fins de détournement, et la prolifération d'établissements publics créés en marge des normes légales et budgétaires, une cinquantaine, selon ses dires, dont plusieurs seraient restés sans activité.
Poursuivons cette revue de presse avec " *LE POTENTIEL* " qui affirme que la RDC vient d’engranger un succès diplomatique, non des moindres, dans le concert des nations. Elle a été portée, hier lundi, à la vice-présidence de la 80e session de l’Assemblée générale des Nations unies, dont l’ouverture officielle est prévue le 9 septembre prochain.
Autre chose. Le go des épreuves hors-session de la 59e édition de l’examen d’État a été donné hier lundi par la ministre de l’Éducation nationale, Raïssa Malu, à l’école Excellence dans la commune de Bandalungwa. A l’occasion, souligne " *OURAGAN* ", elle a apprécié l’organisation partout au pays malgré les défis sécuritaires dans certaines zones sous occupation des rebelles M23.
Cette année, souligne " *FORUM DES AS* ", ils sont 1.073.769 candidats, (dont 461 184 filles (42,95 %) et 612 585 garçons (57,05 %)), à prendre part à ces épreuves, répartis dans 3.165 centres à travers l'ensemble du pays et dans 13 centres horsfrontières.
Tout a fait autre chose pour terminer. Le gouvernement provincial de Kinshasa et la DGRK ont signé hier lundi, un contrat de performance pour atteindre les prévisions budgétaires, exercice 2025. Selon " *LA RÉFÉRENCE PLUS* ", ce contrat de performance montre la volonté du gouvernement provincial de toujours progresser.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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Examen d'État. Des épreuves hors-session démarrent ce lundi 2 juin, annonce " *FORUM DES AS* ". La ministre de l’Éducation nationale et de la Nouvelle citoyenneté, Raïssa Malu, procèdera au lancement officiel de cette session à l’École de l’excellence, dans la commune de Bandalungwa, à Kinshasa.
Jusqu'où irait Joseph Kabila, se demande " *CONGO NOUVEAU* "? Après avoir longtemps nié son implication dans la rébellion de l'AFC/M23, Joseph Kabila a
rencontré le coordonnateur de l'AFC/M23, Corneille Nangaa. Mais aussi plusieurs couches de la société civile d'une partie du Nord-Kivu. En ayant une posture de médiateur local, jusqu'où irait Joseph Kabila ? Comment compte-t-il se prendre
dans ce conflit après la levée de ses immunités parlementaires au Sénat ?
Pour " *LE PHARE* ", de nombreux compatriotes se demandent si le Chef de l’Etat honoraire, Joseph Kabila, est sérieux dans son initiative visant à consulter, à partir de Goma et uniquement à partir de ce coin de la République, toutes les couches de la population congolaise.
De son côté, la VSV estime que Joseph Kabila n'est pas un modèle des droits de l'homme. Lors d’un point de presse, rapporte " *OURAGAN.CD* ", l’ONG a dressé un tableau sombre de la situation des droits de l’homme sous l’ère Kabila caractérisée par des violations graves et massives. L’ONG a rappelé que durant son régime, la justice avait toujours été instrumentalisée, des procès montés de toutes pièces et d’autres d’ailleurs expéditifs, des arrestations et détentions arbitraires...
Une autre charge sur l'ancien chef de l'état, c'est celle de l'Institut de recherche en droits humains. Pour cette structure citée par " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES* ", le discours deJoseph Kabila constitue une menace à la paix.
Nouvelle tempête judiciaire pour Constant Mutamba ! Après le scandale du projet de prison à Kisangani, " *ECONEWS* ", nous apprend que le ministre de la Justice est désormais visé par un réquisitoire du Procureur général près la Cour de cassation pour «outrage aux corps constitués».
En moins de quarante-huit heures, renchérit " *INFOS27* ", deux réquisitoires ont été adressés par le procureur général près la Cour de cassation contre le ministre
d'État à la Justice, Constant Mutamba.
Comment la justice sauvera-t-elle l’image du mandat de Tshisekedi ? Pour restaurer la confiance et encourager un climat de responsabilité, " *LE POTENTIEL* ", invite le Président de la république à d’imposer des sanctions rigoureuses contre les auteurs de détournements de fonds. Actuellement, la liberté dont bénéficient les responsables
accusés ternit l’image du président Tshisekedi et nuit à ses efforts pour établir un gouvernement.
Matata Ponyo porté disparu, alerte LGD. En effet, explique " *LE QUOTIDIEN* ", dans un communiqué, LGD et ses alliés qui alertent sur la disparition de leur leader, Matata Ponyo et prennent pour responsable le pouvoir en place de cette disparition et de tout ce qui peut lui arriver dans la mesure où la sécurité des personnes et de leurs biens est une des missions régaliennes des pouvoirs publics.
Un membre du gouvernement et un responsable, joints par " *RFI.FR* " ont qualifié les responsables du parti de Matata de « plaisantins » ou encore « d’histrions », sous-entendu que ces politiques seraient au courant que leur leader se serait exfiltré de Kinshasa clandestinement.
Détournement de millions de $ à l'ARSP de Miguel Kashal. Selon " *LA PERCÉE* ", le cabinet du président de la République, Féli Tshisekedi, vient de saisir officiellement le DG de l’ARSP, Miguel Kashal, suite à de graves allégations de détournement de plusieurs millions de dollars dénoncées par l'ONG ASSOMIP.
L'interpellation du Général Banywesize inquiète les ONGDH. Dans un communiqué parvenu à " *RADIOOKAPI.NET* ", ces ONGDH expliquent que ce haut officier militaire était en attente d’un transfert à l’étranger pour des soins lors de son interpellation. Ces organisations citoyennes réclament sa libération.
Candidature au conseil de sécurité de l'ONU, Félix Tshisekedi clôture la campagne de la RDC. Selon " *FORUM DES AS* ", la cérémonie s’est tenue à l’espace Kemesha, dans la commune de la Gombe, à l’initiative de la ministre des Affaires étrangères, en présence des présidents des deux chambres du Parlement, de
plusieurs membres du
Dans son allocution, souligne " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES* ", le Chef de l’État a, au nom du peuple congolais,
exprimé sa profonde gratitude aux frères et sœurs d’Afrique, en particulier aux chefs d’État de la Communauté économique des
États de l’Afrique Centrale et de l’Union africaine qui ont endossé et promu la candidature de la RDC.
A l'Assemblée nationale, on a mis en place une commission d’enquête sur la redevance "Go Pass", rapporte " *LE POTENTIEL* ". Ceci, à la suite de la question orale avec débat adressée à M. Ngoma Mbaki, DG de la RVA, par le député national Claude Misare, sur la gestion de cette redevance.
Dans un autre chapitre. Ça brûle à l'OCC. Selon " *CONGO NOUVEAU* ", les torchons brûlent à l'Office congolais de contrôle entre le staff dirigeant et les travailleurs. Réunis en Assemblée générale samedi 31 mai à Kinshasa sous l'égide de leurs syndicats respectifs, ces travailleurs ont décidé d'observer un mouvement de grève à partir de ce lundi 02 juin 2025 sur toute l'étendue de la RDC. D'une voix commune, ils ne jurent que par le départ immédiat et sans délai de l'actuelle équipe dirigeante de leur office.
Autre chose avec " *ECONEWS* ", qui dénonce l'insécurité dans la ville de Kinshasa qui vit des heures sombres. Ces derniers jours, le braquage spectaculaire d’une agence bancaire au cœur même de l’Université de Kinshasa en pleine journée a sonné l’alerte générale. Cet événement marque un tournant dans l’escalade de la violence urbaine qui transforme progressivement Kinshasa, mégalopole de plus de 10 millions d’habitants, en véritable Far West où la loi du plus fort semble désormais régner en maître.
Entre-temps, la grille tarifaire chiffonnée et piétinée par les chauffeurs de la capitale dénonce de son côté " *AFRICANEWS* ". Le secteur des transports en commun en RDC en général et dans la ville de Kinshasa en particulier est celui dans lequel l’autorité de l’État se fait visiblement
inexistante, laissant libre cours aux humeurs des transporteurs qui en profitent pour dicter leur loi.
On termine avec " *LEPOUVOIRDUPEUPLE.COM* ", qui plaide pour la réhabilitation de la route Mokali, située dans la commune de Kimbanseke, la route Mokali, la seule route qui relie les quartiers Kakudji, Muli, Batumona et Mokali au boulevard Lumamba présente aujourd'hui un spectacle criant du délabrement des infrastructures routières à Kinshasa.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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L’ancien président de la république, Joseph
Kabila, a fait une rare apparition publique hier jeudi à Goma. Entouré de leaders religieux, le sénateur à vie, rapporte de son côté " *CONGO NOUVEAU* ", s’est montré devant les caméras sans prononcer le moindre mot, mais en présence très remarquée de Lawrence Kanyuka, porte-parole du M23.
L'ancien président, qui avait combattu ce même groupe durant son mandat, aajoute " *INFOS27* ", adopte aujourd'hui une posture de médiateur au nom de la paix. Un retournement de situation qui interroge et ravive les soupçons de collusion, alors qu'il est poursuivi pour trahison et crimes de guerre.
Pour " *LE MAXIMUM* ", ce que veut Joseph Kabila, c’est le retour aux équilibres précaires issus de négociations politiciennes qui ne sont pas sans rappeler les ententes entre groupes maffieux, qu’il
présente comme les ‘‘fondamentaux de la démocratie’’. Alors, poursuit l'hebdomadaire, qu’ils ne sont en réalité qu’une technique fasciste dont la principale caractéristique est de balayer du
revers de la main la volonté de la population. Pas étonnant qu’au cours des 60 années qui ont suivi l’indépendance, aucune négociation n’a réussi à ramener une paix durable en RDC.
Entre-temps, " *LE MAXIMUM* ", publie une lettre ouverte de Lambert Mende à Joseph Kabila Kabange. "Pendant plus d’une décennie, écrit Lambert Mende, j’ai été un témoin privilégié à vos côtés des performances et contre-performances de la gestion publique de notre pays. Je ne peux pas souscrire à l’idée reprise dans votre message, que la dramatique régression actuelle de la RDC serait le fait exclusif de votre successeur Félix Tshisekedi. Une pareille assertion suggérant qu’il suffirait que le président
Tshisekedi quittât le pouvoir pour que ce pays renoue avec la prospérité, la croissance et le développement ne tient pas la route..."
Ministre de la Communication et Médias et Porte-parole du Gouvernement sous le long règne de Joseph Kabila, Lambert Mende Omalanga est sorti du silence, souligne de son côté " *FORUM DES AS* ". Dans une lettre qu'il lui adresse, Lambert Mende exprime son dépit de le voir rangé du côté de l'agresseur, crachant ainsi sur la mémoire de son défunt père, Mzée Laurent-Désiré Kabila.
Pour " *OURAGAN* ", Lambert Mende se fait toujours l'apôtre du souverainisme
congolais. Il exprime son dépit envers son ancien patron. L'alors porte-parole du gouvernement a revêtu presque son manteau, pour décrier le choix «controversé» de Joseph Kabila, le fils de Mzee, de traverser la rue pour rejoindre le groupe rebelle prorwandais qu'il a longtemps combattu.
Comme si cela ne suffisait "MEDIAPART", un média spécialisé dans des dossiers chauds en a remis une couche, révélant des participations cachées de l’ex-président Joseph Kabila dans plusieurs grandes entreprises RD-congolaises, nous apprend " *AFRICANEWS* ". Aidé par une femme d’affaires italienne nommée
Fortunata Ciaparrone, Joseph Kabila aurait ainsi dissimulé sa fortune via des sociétés écrans gérées par son associée italienne.
Selon la source de " *FORUM DES AS* ", des vidéos ont montré la manière dont ‘’ce couple ‘’ ( Kabila et son associée) a siphonné calmement la RDC. Pillages des ressources naturelles, détournements d’actifs, blanchiment de fonds, corruption... voilà comment Kabila et Ciaparrone ont vidé la RDC pendant …18 ans.
Alors que la RDC traverse une crise politico-sécuritaire profonde, Antipas Mbusa Nyamwisi, relayé par " *AFRICANEWS* ", appelle à un dialogue
national inclusif comme solution prioritaire.
Relayant l'information, " *LE PHARE* ", accuse Mbusa Nyamwisi de ne pas condamner le Rwanda. Pourtant, rappelle le tabloïd, toutes les organisations du monde, y compris l'ONU, ont attesté l’implication directe du Rwanda dans les violences qui sévissent en RDC et l’ont clairement pointé du doigt comme agresseur de son voisin, la RDC.
Firmin Mvonde autorisé à instruire Constant Mutamba. Lors de sa plénière hier vendredi, l'assemblée nationale rapporte " *L'AVENIR* " a autorisé le Procureur
général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde à instruire le ministre de la Justice dans l’affaire détournement de fonds pour la construction de la prison centrale de Kisangani.
Dure épreuve pour Mutamba, barre à la Une " *OURAGAN* " qui rapporte que l'Assemblée nationale a donné le go à la
justice pour instruire sur le dossier de construction de la prison de Kisangani, Tshopo, dont le ministre de la Justice,
Constant Mutamba est mis en cause par le parquet près la Cassation, pour
détournement supposé de 19 millions
de dolla
Constant Mutamba, l'arroseur arrosé, titre de son côté " *CONGO NOUVEAU* ". Habitué à donner des injonctions de poursuites et à les partager sur les réseaux sociaux, Constant Mutamba est lui-même poursuivi
pour détournement des deniers publics destinés aux victimes de la guerre de 6 jours à Kisangani. Zélé et lançant des poursuites judiciaires à tout va, le ministre ne s'est pas montré prudent alors qu'il se faisait déjà beaucoup d'ennemis au sein de l'appareil de l'État
Outre ces irrégularités, renchérit " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES* ", l'entreprise choisie par le ministre de la Justice n'est pas agréée par le ministère des Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction. Plus grave encore, cette
entreprise créée seulement en 2024 n'est composée que de deux personnes, notamment un Congolais comme responsable et une gérante de nationalité
burundaise.
Autre député dans le collimateur de la justice, révèle " *LA RÉFÉRENCE PLUS",* c'est Nicolas Kazadi, ancien ministre des Finances que le procureur de la Cour de cassation souhaite l'entendre sur des accusations de propagations de faux bruits et divulgation de secrets d'État.
Enfin, Nicolas Kazadi dans le filet de la justice, se réjouit " *OURAGAN* ". L'ex-argentier s'est longtemps moqué de la société civile, snobé la classe politique, se trouvant même des relais dans la presse pour effacer ses dérapages de gestion.
Entre accusations de divulgation de secrets d'État et mise en cause de dérives budgétaires, cette affaire, écrit " *INFOS27* ", soulève une question délicate: où tracer la ligne entre liberté d'expression politique et responsabilité institutionnelle ?
En tant que député, Nicolas Kazadi, rappelle " *LEPOUVOIRDUPEUPLE.COM* ", bénéficie de l’immunité parlementaire. Toute procédure judiciaire nécessite donc l’approbation préalable de l’Assemblée nationale.
Pour " *ECONEWS* ", ces deux affaires hautement symboliques placent la justice congolaise devant un choix historique : prouver son indépendance ou confirmer son asservissement au pouvoir politique. La crédibilité des institutions et l’espoir d’une véritable lutte contre l’impunité se jouent désormais dans le cabinet de Firmin Mvonde, procureur général près
la Cour de cassation.
On termine avec cette mise au point du Cardinal Ambongo au sujet de la concession de l'église catholique qui se trouve sur avenue Sendwe à Kinshasa. Pour l'Archevêque de Kinshasa, cité par " *OURAGAN* ", la concession est mise en location et non vendue.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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Affaire Mutamba, la commission dit oui à
l'instruction, " *INFOS27* ", appelle l'Assemblée nationale à trancher. Avec 17 voix sur 19, la commission spéciale de l'Assemblée nationale s'est prononcée en faveur de l'autorisation d'instruction contre le ministre de la Justice, Constant Mutamba, dans l'affaire des 39 millions de dollars liés à la prison de Kisangani.
Selon " *FORUM DES AS* ", la commission spéciale de l'Assemblée nationale livre ses conclusions ce jeudi. Ce document élaboré après trois jours de travaux intensifs, déterminera si les députés autorisent ou non l’ouverture d’une information judiciaire contre le ministre de la justice, Constant Mutamba.
Pour " *LA PROSPÉRITÉ* ", c'est une étape cruciale où ladite commission se chargera d'établir ou non la culpabilité du patron de la justice impliqué dans un dossier de détournement présumé de fonds publics destinés à la construction de la prison centrale de Kisangani. Le vote des députés déterminera l’avenir de ce dernier au gouvernement.
De son côté " *LA RÉFÉRENCE PLUS"* affirme que là où cette affaire semble une ironie pour les uns et un renouveau pour les autres en RDC, c'est de voir que le procureur général près de la Cour de cassation, qui serait lui-même en train d'être enquêté sur une présumée acquisition illégale d'un bien immobilier en Belgique, se permet d'initier à son tour une requête contre celui-là même qui aurait ordonné une telle action. Raison pour laquelle Constant Mutamba contre-attaque en contestant ouvertement la légitimité du procureur général Firmin Mvonde.
Pour sa part, " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES"* rappelle que Constant Mutamba est accusé d'avoir détourné plus
de 19 millions de dollars américains sur les 39 millions débloqués pour la construction de la prison centrale de Kisangani.
Pendant ce temps, la Cheffe du gouvernement ,Judith Suminwa, citée par " *LA PERCÉE* ", dénonce l'abus des procédures de gré à gré et renforce les mesures de transparence dans les marchés publics.
Retour de Kabila sur le devant de la scène politique, Kagame « congolise » l’agression et réactive « son joker » pour légitimer l’occupation, écrit " *LE JOURNAL* ". Alors que la RDC sombre dans une crise sans fin, le
Rwanda de Paul Kagame apparaît comme le grand bénéficiaire d’un chaos savamment orchestré. La réintroduction de Joseph Kabila dans l’équation géopolitique n’est pas un hasard : elle permet à Kigali de crédibiliser son récit d’une instabilité congolaise endémique, tout en justifiant ses interventions militaires et économiques sous couvert de « sécurité régionale ».
Dans un entretien accordé à France 24, Denis Mukwege, rompt le silence pour dénoncer ce qu'il perçoit comme une complaisance coupable de Joseph Kabila à l'égard du régime rwandais. Revenu en
RDC par la frontière de Goma sans jamais désigner Paul Kagame comme agresseur, l'ancien président, selon Mukwege, affiche une posture " qui ne trompe pas ". Un silence qui, dans un contexte de guerre ouverte à l'Est, équivaut à une trahison. Pour " *INFOS27* ", la voix du médecin de Panzi, encore une fois, sonne comme un avertissement lancé à la conscience nationale.
Denis Mukwege ajoute " *LA PROSPÉRITÉ* ", ne voit pas d’un bon œil l’attitude affichée par le Président de la république honoraire, Joseph Kabila Kabange. Il condamne avec force sa présence à Goma. Pour le Prix Nobel de la Paix, Joseph Kabila ne devrait aucunement adopter une posture qui alimenterait la confusion, le mépris et le doute sur sa modeste personne, quelles que soient les vicissitudes imposées à sa vie politique.
Gentiny Ngobila, relayé par " *7SUR7.CD* ", a exprimé sa profonde déception lors d'une interview accordée à la presse hier mercredi. L’ancien gouverneur de Kinshasa a affirmé que le comportement de Kabila contredit tout ce pour quoi il s'est battu durant sa carrière politique.
Mais pour le PPRD Diaspora, la présence de Kabila à Goma est une garantie d'unité du Congo. Dans une déclaration signée par Sandra Nkulu Kyungu, parvenue à " *FORUM DES AS* " la Coordination Diaspora du PPRD se réjouit du retour au pays du Président Kabila par la ville de Goma, symbole de
résilience de la nation congolaise. Pour lui
comme pour tous les Congolais, la liberté d'aller et de venir sur tout le territoire national est constitutionnelle (article
30)."
Contrairement à ce que son laboratoire
politico-strategique lui avait conseillé, l’ancien président de la République Joseph Kabila est arrivé à Goma, sans susciter un quelconque engouement de la part de la population meurtrie, constate " *LE PHARE* ". Il y vit presque clandestinement sans
prendre le risque de faire des apparitions publiques dans les carrefours ou marché, surtout pas convoquer un rassemblement
populaire. Alors que, selon des informations recueillies par le tabloïd, la ville de Goma constituait le premier test pour Joseph Kabila qui comptait se refaire une santé politique !
Malgré le contexte tendu à l’est du pays, Kigali et Kinshasa poursuivent leurs discussions autour de leurs accords miniers avec des entreprises américaines, sous l’égide du département d’tat. Du côté rwandais, révèle " *RFI.FR* ", au moins un protocole d’accord a déjà été signé, tandis qu’à Kinshasa, les négociations se poursuivent. D’après les sources proches des négociateurs, il est exclu que les États-Unis déploient des troupes au sol dans la région. Mais des sociétés privées de sécurité pourraient y être engagées.
Arrestation du général Pierre Banywesize,
sa famille plaide pour une visite au détenu. Arrêté à Kinshasa depuis le 22 mai par les services de renseignement militaire, rappelle " *L'OBJECTIF* ", à l'issue d'une audition selon des sources familiales, le
général de brigade Pierre Banywesize se trouve toujours en détention et ne bénéficie d’aucune visite ni de son épouse moins encore de ses enfants.
Examen d’État 2025 en RDC. Pour " *FORUM DES AS* ", les élèves de Kinshasa sont favorisés par rapport à ceux des provinces. À Kinshasa, explique le tabloïd, les élèves ne paient que 31.000 FC pour passer la session ordinaire de l’examen d’État. Pendant ce temps, leurs camarades
d’autres provinces comme l’Équateur ou le Maï-Ndombe doivent s’acquitter de 85000 FC, voire davantage dans certaines régions.
Autre chose. La délivrance de l'autorisation d'organiser une kermesse à Kinshasa revient désormais à la responsabilité du gouverneur de province. Cette annonce, souligne " *DÉPÊCHE.CD* ", est contenue dans le communiqué du ministre provincial du plan, budget, emploi et tourisme.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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Il n'y a désormais plus de doute, Joseph Kabila séjourne bel et bien à Goma. Arrivé discrètement, le sénateur à vie révèle " *FORUM DES AS* ", entame dès ce mercredi une série de consultations citoyennes.
Accompagné de ses collaborateurs, Kabila, ajoute " *LE POTENTIEL* ", a déjà finalisé les détails de son agenda, qui sera officiellement présenté ce mercredi.
Selon des sources proches de Kabila, ce programme vise à établir un dialogue constructif avec divers acteurs clés de la région. Parmi les premiers invités figurent les autorités de l’AFC/M23 et des représentants des confessions religieuses.
Kabila ‘officiellement’ à Goma, les masques tombent, barre à la Une " *L'AVENIR* ". Qui est celui-là, en pleine zone sous contrôle des groupes armés, peut consulter les maitres des lieux selon son programme? Tout porte à croire que les masques tombent, conclut le tabloïd.
Pour " *ECONEWS* ", l’atterrissage de Joseph
Kabila à Goma, n’est pas un simple déplacement protocolaire. Dans cette ville assiégée par les rebelles de la coalition AFC/M23, chaque geste de l’ancien chef de
l’État est un message politique
Au gouvernement de la République affirme " *AFRICANEWS* ", l’arrivée, de Joseph Kabila à Goma, siège des institutions parallèles mises en place par les rebelles d’AFC-M23, a confirmé son rôle de chef rebelle. Selon le Porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, les RDCongolais ne veulent plus de Kabila pour son lourd passif cumulé durant ses 18 ans de règne.
De son côté, Julien Paluku, ancien gouverneur du Nord-Kivu, sous Kabila, cité par " *LE QUOTIDIEN* ", s'étonne de voir l'ancien Président de la république se rendre à Goma, sous occupation des rebelles qu'il a combattu.
Pendant ce temps, " *RFI.FR* ", nous apprend ce qu'affirme un rapport central dans l'autorisation de pouvoir poursuivre Joseph Kabila. Ce rapport, écrit la radio mondiale, révèle d’abord que l’auditeur a commencé ses enquêtes contre Joseph Kabila bien avant l’instruction du ministre de la Justice. Il affirme disposer déjà d’un faisceau de preuves. L’auditeur évoque le fait que Joseph Kabila s’était déjà rendu à Goma, mais aussi dans des pays qu’il qualifie d’hostiles, et il dit détenir des preuves supplémentaires en lien avec ces déplacements. Il accuse également Joseph Kabila d’avoir apporté un soutien financier à l’AFC/M23.
Dans un rapport accablant, consulté par " *ECONEWS* ", Amnesty International lève le voile sur une série de violations graves des droits humains perpétrées par le groupe armé AFC/M23 dans l’est de la RDC. L’ONG internationale documente des cas systématiques de torture, d’exécutions
extrajudiciaires et de disparitions forcées dans les zones sous contrôle rebelle, notamment à Goma et Bukavu.
Selon cette source, renchérit " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES* ", le M23, soutenu par le Rwanda, tue, torture et fait disparaître de force des détenus, en prend certains en otage et les soumet à des conditions
inhumaines dans des lieux de détention à Goma et Bukavu.
Le rapport accablant d'Amnesty
International, ajoute pour sa part, " *INFOS27* ", révèle que des détenus sont enfermés dans des cellules surpeuplées, sans accès à l'eau potable, à la nourriture, aux soins médicaux, ni à leurs familles ou avocats. Pire encore, au moins une douzaine d'entre eux ignorent les raisons mêmes de leur arrestation.
Le gouvernement congolais, rapporte " *FORUM DES AS* ", a tenu à lever toute équivoque autour du processus de Washington, initiative diplomatique en cours pour pacifier la région des Grands Lacs et renforcer la coopération régionale. Lors d'un briefing presse conjoint, hier mardi, le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, a exposé les avancées et les fondements de ce processus, en rappelant les lignes rouges sur lesquelles la RDC ne transigera pas.
Coopération. Selon " *LE JOURNAL"* , l'Union européenne vient d’apporter un appui financier de 20 millions d’euros en faveur de la 31e brigade d’intervention rapide des FARDC, basée à Kindu, dans la province du Maniema, rapporte une source diplomatique,
Bras de fer Mutamba-Mvonde. " *LE JOURNAL* " revient sur les propos tenus lundi dernier par le Ministre de la Justice à l'égard du Procureur général près la cour de cassation sur ce qu'il qualifie de complot pour nuire à sa personne, Si pour certains celà est un recadrage musclé, pour d'autres, c'est plutôt un défi lancé à une autre institution de la République.
Pour Jean-Claude Katende, cité par " *OPINION-INFO.CD* ", un homme d'état ne peut pas défier une autre institution. Il se pose la question sur les raisons de la sortie médiatique de Constant Mutamba devant les agents de son ministère et pense que sa motivation reste quand même ambiguë.
Derrière les invectures et les menaces (« Je ne crains pas la prison »), se cache une guerre bien plus large : un bras de fer judiciaire, politique et peut-être financier, où chaque camp accuse l’autre de détournement, souligne " *ECONEWS* ". Alors que l’Assemblée nationale examine la levée de son immunité, Mutamba promet de « se battre jusqu’au bout ». Mais jusqu’où cette crise ébranlera-t-elle les institutions ?
De son côté " *LA PROSPÉRITÉ"* , annonce un sprint final entre le Ministre de la Justice, dans le duel qui l’oppose au Procureur
Général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde. D'après le tabloïd, la commission
spéciale de la Chambre basse du Parlement qui a reçu mission d’auditionner le patron de la justice en RDC, a débuté hier mardi ses travaux à huit clos.
Autre chose. Le nouveau passeport congolais disponible, nous apprend " *CONGO NOUVEAU* " qui affirme que le processus d’obtention du nouveau passeport débute le 5 juin prochain. Pour faciliter les demandeurs, l'achat et le remplissage de formulaire se fera en ligne, via le site web officiel du ministère des Affaires étrangères.
Cependant, ajoute le communiqué consulté par " *LEPOUVOIRDUPEUPLE.COM* ", pour les détenteurs de l'ancien passeport, point n'est besoin de s'inquiéter, ils pourront l'utiliser jusqu'à la date d'expiration. Le nouveau passeport coexistera avec l'ancien jusqu'en 2030. Le frais de son obtention s'élève à 75$.
Le ministère provincial des Transports
rappelle aux chauffeurs de taxis, bus, VTC et corbillards de Kinshasa qu'ils doivent se faire identifier avant le 31 mai 2025. Selon " *INFOS27* ", cette mesure vise à renforcer la sécurité dans les transports publics et à optimiser les recettes de la ville. Des sanctions sont prévues pour les
contrevenants.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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En séjour à Goma : De sénateur à vie, Kabila s’affiche comme chef rebelle, titre " *LE POTENTIEL".* Parti du Rwanda, sous bonne escorte des éléments de l’AFC-M23 et de l’armée rwandaise, affirment plusieurs sources, Joseph Kabila est rentré officiellement en territoire congolais par Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu, le samedi 24 mai,
Kabila livré à la justice. Selon " *OURAGAN* ", le Sénat congolais a levé hier jeudi l'immunité de Joseph Kabila, ancien
La commission spéciale chargée d'examiner le réquisitoire de l'auditeur
général des FARDC présente son rapport à la plénière de ce jeudi au Sénat. Selon " *LE LAURÉAT* ", les sénateurs sont conviés à la
plénière prévue ce jeudi 22 mai consacrée à la présentation et adoption du rapport de la commission spéciale chargée d'examiner le réquisitoire de
l'auditeur général
Accusé de trahison, crimes de guerre, Joseph Kabila attendu à la Commission spéciale ce mardi. Selon " *FORUM DES AS* ", le Président honoraire et sénateur à vie, Joseph Kabila est officiellement convoqué par le Sénat pour répondre des accusations lourdes de conséquences.
Jamais, commente " *INFOS27* ", la RDC n'était allée aussi loin dans la mise en cause d'un ancien chef de l'état. Soupçonné de complicité avec la rébellion du M23, le sénateur à vie est invité à faire valoir sa version des faits. Mais son absence attendue, souligne le journal, ne devrait pas empêcher la machine institutionnelle de poursuivre son cours vers une décision aux allures de tournant historique.
Pour " *LA PERCÉE* ", le Sénat ne jure que par l'arrestation de Joseph Kabila. L'ancien Chef de l'État est accusé d'avoir des liens avec la rébellion de l'AFC/M23 soutenue par le Rwanda dans l'Est de la RDC.
Pour sa part, " *LE POTENTIEL* " estime que l'invitation à se présenter devant le Sénat pourrait être interprétée comme un pas vers la transparence et la responsabilité.
Cependant, des indiscrétions laissent entendre que la Chambre haute du Parlement s’appuiera uniquement sur les textes légaux pour décider du sort de
Kabila. Cela soulève la question de la véritable intention derrière cette démarche. Est-ce un acte de justice, ou une manœuvre politique visant à affaiblir un adversaire ?
Dans une déclaration publiée sur le réseau social X, José Makila, cadre du Front Commun pour le Congo et proche de Joseph Kabila, cité par " *LE FAX* ", dénonce ce qu'il qualifie de "cabale politique "
L'actualité, c'est aussi le verdict du procès Bukanga Lonzo. Matata à la porte de Makala, barre à la Une " *OURAGAN* ". Après plusieurs reports et rebondissements, la Cour constitutionnelle se prononce enfin ce mardi 20 mai sur le procès emblématique du fiasco agro-industriel de Bukanga Lonzo, devenu le symbole d'une République pillée de l'intérieur.
L’interrogation qui trotte dans tous les esprits, écrit " *LE PHARE* ", est de savoir si, cette fois ci, Dieudonné Kamuleta, le président de cette haute direction, va enfin sifflet la fin des « prolongations
Pour " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES"* , ceux qui appuient Augustin Matata contre la justice se préoccupent moins de ces fonds du contribuable partis en fumée. Au début de ce dossier, rappelle le tabloïd, Matata avait bien accepté d'affronter la justice
jusqu'à interrompre un séjour en Afrique de l'Ouest...
Autre chose. Détournement de 39. 800 000 $ pour la construction de la prison à Kisangani, le député national Willy Mishiki déterminé à faire couler Constant Mutamba par une motion de défiance. Selon " *LE FAX* ", une question orale avec débat a été déposée à l'Assemblée nationale le 13 mai dernier par le député national Willy Mishiki.
Dans un autre chapitre. Accord de paix, Washington attend les amendements de Kinshasa et Kigali. Selon des sources sûres du journal " *OURAGAN* ", un bref délai a été accordé aux deux parties afin de formuler leurs observations et proposer des amendements
Pour " *LA RÉFÉRENCE PLUS"* , les négociations à Doha au Qatar et l'arrivée des Etats Unis dans le cadre d'un possible accord de paix entre la RDC et le Rwanda rebattent les cartes pour la rébellion, notamment pour l'AFC de Corneille Nangaa, qui pourrait se retrouver marginalisé dans cette éventuelle sortie de crise.
Toujours en rapport avec la situation sécuritaire dans l'est du pays, " *LA TEMPÊTE DES TROPIQUES* ", nous apprend que les demandeurs de passeport vivant dans les zones sous contrôle des rebelles AFC/M23 se sentent marginalisés par le
Gouvernement central. Ils se disent dans l'impossibilité de se rendre à l'étranger, faute de passeport.
Pendant ce temps, nous apprend " *LEPOUVOIRDUPEUPLE.COM* ", le Burundi interdit d'accès à son territoire les Congolais détenteurs des documents octroyés par le M23. Pour ce média en ligne, le Burundi envoie un message politique. Une posture qui pourrait peser dans les futures négociations régionales sur la sécurité dans les Grands Lacs.
Autre chose. Le Parti Ensemble pour la République dénonce les perquisitions opérées chez Moïse Katumbi. Dieudonné Bolengetenge, SG du parti l'a fait savoir hier dans une déclaration parvenue à " *RADIOOKAPI.NET* ".
Tout a fait autre chose. La Première ministre Suminwa arrive à Tshikapa le 26 mai prochain, annonce " *LE POTENTIEL* ". En tournée dans le Congo profond, la Première ministre Judith Suminwa est attendue dans la ville de Tshikapa, chef-lieu de la province du Kasaï pour un dialogue sur le développement de cette province du centre du pays.
Après la déchéance du Gouverneur du Kasaï-Orientale, le vice-gouverneur, Augustin Kayembe Mulemena, a été notifié hier lundi par le Ministre de l'intérieur, Jacquemin Shabani. D'après le télégramme consulté par " *MEDIACONGO* ", la remise et reprise entre le gouverneur et son adjoint sera supervisé par l'Inspecteur provincial de l'Inspection générale territoriale, avec l'appui du comité provincial de sécurité.
Lutte contre les embouteillages, la ville de Kinshasa, rapporte " *FORUM DES AS* ", envisage de mettre en œuvre, dans
les prochains jours, une mesure de circulation alternée selon les plaques
d'immatriculation.
Pour " *INFOS27* ", c'est mesure cosmétique qui cache mal l'agonie urbaine. Le tabloïd estime que cette mesure d'apparence technique n'est rien d'autre qu'un artifice politique, un aveu d'impuissance maquillé en action. Un emplâtre absurde sur un
système à l'agonie. Kinshasa n'a pas besoin de restrictions, mais d'ambition.
Répondant à " *MEDIACONGO* ", Eugène Diomi Ndongala pense qu'en limitant la circulation des véhicules selon une règle alternée, ce texte administratif s'aventure sur un terrain miné, celui des libertés fondamentales. Donc, pour lui, Daniel Bumba défie la constitution.
Pour sa part, Martin Fayulu, relayé par le journal " *OURAGAN* ", dénonce «une honte routière». Pour le président de l'ECiDé, cette mesure n'est qu'un subterfuge mal déguisé, révélateur de l'incapacité
chronique des autorités à gérer le chaos urbain qui paralyse quotidiennement la capitale congolaise.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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