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RDC : VERS UN FACE-À-FACE FAYULU-TSHISEKEDI POUR DES RÉPONSES AUX ENJEUX DE L'HEURE

Le lundi 2 juin 2025, Martin Fayulu, président du parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, a prononcé un discours dans lequel il a expressément demandé une rencontre avec le président Félix Tshisekedi afin de discuter des problèmes urgents auxquels le pays est confronté.

Cette initiative pourrait marquer un tournant dans le paysage politique congolais.

En réponse, Tina Salama, porte-parole de la présidence, a déclaré que le Président de la République salue le patriotisme et l'engagement de Monsieur Martin Fayulu en faveur de la cohésion nationale, et se dit prêt à le rencontrer afin d’unir les efforts pour préserver la République face aux menaces pesant sur ses institutions et son intégrité territoriale.
Cette déclaration laisse entendre qu'une rencontre pourrait être envisagée si les modalités sont appropriées.

Par ailleurs, Martin Fayulu a également lancé un appel pressant à l'ancien président Joseph Kabila, lui demandant de quitter Goma, une ville actuellement sous tension et occupé par la complicité des forces ennemis.
Cet appel vise probablement à apaiser la situation sécuritaire et politique dans la région.

Achille BOPE

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ÈRE DE L'IA EN RDC : THIERRY MONSENEPWO ALERTE SUR LE DANGER DES DEEPFAKES

"Deepfakes, vidéos truquées"

 

 

Ci-dessous son adresse le vendredi 29 Mai 2025 devant la plénière du CSAC.

 

Monsieur le Président du CSAC,

Honorables membres du Bureau,

Distingués membres de l’Auguste Plénière,

Mesdames et Messieurs,

 

C’est avec gravité, mais aussi avec un profond sentiment de devoir républicain, que je me tiens devant vous aujourd’hui, pour aborder une question cruciale pour l’avenir de notre souveraineté médiatique et, par ricochet, pour la paix civile et l’intégrité institutionnelle de la République Démocratique du Congo.

 

Je parle ici de la montée fulgurante des contenus générés par l’intelligence artificielle, et plus précisément de l’usage insidieux des deepfakes — ces vidéos hyperréalistes, entièrement fabriquées, capables de faire dire ou faire n’importe quoi à n’importe qui, avec un degré de crédibilité terrifiant.

 

Nous sommes à l’orée d’une guerre qui ne dit pas son nom — une guerre cognitive, une guerre de la perception, une guerre de la confusion. Et cette guerre est déjà là.

 

📍 Contexte général : l’intelligence artificielle, nouveau champ de bataille informationnel

 

Depuis quelques mois, les alertes se multiplient. Des vidéos surgissent sur nos plateformes, montrant prétendument des autorités congolaises dans des attitudes, des propos ou des contextes qu’elles n’ont jamais exprimés ni vécus. La voix est parfaite. Le visage, identique. Le ton, maîtrisé. Mais tout est faux.

 

Ces contenus sont fabriqués à l’aide d’outils d’IA comme voice cloning, text-to-video, ou deep video synthesis. Des technologies jadis réservées aux laboratoires militaires ou aux studios hollywoodiens, mais qui sont désormais à la portée de n’importe quel individu connecté, avec quelques dollars et un compte sur une plateforme d’IA.

 

Nous assistons à l’effondrement de l’évidence, au renversement de l’axiome fondamental de la communication : « Ce que je vois est vrai ». Or, dans une société fragile, traversée par des tensions politiques, ethniques et géopolitiques, ce renversement peut être fatal.

 

🧠 Exemples d’usages malveillants à l’échelle mondiale

 1. Ukraine – Russie : en 2022, un deepfake du président Zelensky l’appelant à la reddition a brièvement circulé, semant le doute en pleine guerre.

 2. États-Unis : en 2024, une voix clonée de Joe Biden appelant des électeurs afro-américains à s’abstenir a failli faire basculer des États clés.

 3. Burkina Faso : un deepfake d’un ministre appelant à l’insurrection a circulé sur TikTok, attisant les tensions sécuritaires.

 

Tous ces cas démontrent la même chose : l’arme deepfake est asymétrique, virale et difficilement traçable. Elle ne tue pas par balle, mais par perception. Elle ne bombarde pas les villes, elle implose les vérités.

 

⚠️ Risque spécifique pour la RDC

 

Notre pays est une cible idéale pour ce type d’opérations :

 1. Contexte géopolitique explosif : une fausse vidéo d’un chef d’État ou d’un militaire peut suffire à provoquer une escalade, une mutinerie ou une perte de confiance interne.

 2. Population jeune, très connectée, peu formée à la vérification des sources.

 3. Absence de mécanismes institutionnalisés de détection, d’alerte et de démystification rapide des contenus synthétiques.

 

🎯 Le rôle du CSAC : être le bouclier informationnel de la République

 

Monsieur le Président,

Chers membres,

 

Le CSAC est plus que jamais la vigie de la vérité publique, le gardien de la santé mentale collective, le dernier rempart contre le chaos numérique. Face à ce danger, il faut non seulement réagir — il faut anticiper. Il faut innover. Il faut poser des fondations durables.

 

✅ Propositions stratégiques à l’attention du CSAC

 

1. Création d’un Pôle national de veille IA – “Vérité Numérique RDC”

 • Veille proactive sur les réseaux sociaux (TikTok, Facebook, WhatsApp, X, Telegram).

 • Détection automatisée des incohérences audio-visuelles.

 • Analyse des métadonnées, horodatages, signatures vocales.

 

Outils recommandés :

 • Deepware Scanner, Hive Moderation, Amber Video Forensics, Respeecher Analyzer.

 

2. Acquisition d’une infrastructure technique de contre-analyse

 • Stations de travail hautes performances (GPU NVIDIA RTX 4090).

 • Écrans de surveillance multicanaux.

 • Serveur sécurisé de stockage IA (capacité 50 To évolutifs).

 • Logiciels d’automatisation des analyses multicritères.

 

3. Cadre réglementaire modernisé et agile

 • Proposition d’une décision de votre auguste pleniere sur la traçabilité des contenus synthétiques.

 • Obligation légale de signaler tout contenu modifié ou généré par IA dans les médias agréés.

 • Création d’un label “Média Authentique” pour les producteurs conformes.

 

4. Plan national de renforcement des capacités

 • Formation trimestrielle des équipes du CSAC.

 • Partenariat avec l’UNESCO, l’UIT, l’OIF et les grands pôles de cybersécurité africains (Maroc et l’ Afrique du Sud).

 • Élaboration d’un curriculum IA et éthique médiatique pour les écoles de journalisme.

 

5. Campagne de sensibilisation multisectorielle

 • Spots TV/Radio : “Une image peut mentir. La vérité ne se devine pas, elle se vérifie.”

 • Affiches dans les universités, lieux de culte, cybercafés.

 • Capsules virales co-construites avec les influenceurs et TikTokeurs patriotes.

 

🏛 Conclusion : défendre la République dans le cyberespace

 

Monsieur le Président,

Honorables membres,

 

À l’heure où les nations ne se conquièrent plus uniquement par les armes, mais par les récits qu’on fabrique autour d’elles, notre devoir est de faire de la vérité un patrimoine protégé.

 

La République Démocratique du Congo est un géant encore debout. Mais pour qu’elle reste debout, il faut que son peuple puisse encore discerner le vrai du faux, la réalité de la manipulation, le visage de ses dirigeants de leurs avatars contrefaits.

 

Le CSAC est la tour de guet de la République dans ce champ de bataille numérique. Il est temps de l’armer, de l’élever, de le renforcer. C’est une question de survie nationale.

 

Je me tiens à votre disposition pour accompagner, soutenir et porter toute initiative allant dans ce sens, au nom de la vérité, de la République, et de notre sécurité collective.

 

Respectueusement soumis à votre haute attention,

 

Jean Thierry MONSENEPWO

Ambassadeur de la Cellule Présidentielle de Changement de Mentalité

Militant de la vérité dans l’espace public congolais

 

Le pouvoir du peuple

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Urgent! Affaire Prison de Kisangani : l’Assemblée Nationale saisie pour la levée des immunités de Constant Mutamba

Le procureur près la Cour de cassation a saisi l’Assemblée nationale de la République Démocratique du Congo (RDC) pour demander la levée des immunités parlementaires de Constant Mutamba, ministre de la Justice et Garde des Sceaux. Cette démarche intervient dans le cadre d'une enquête sur un présumé détournement de 39 millions de dollars américains destinés à la construction d'une prison à Kisangani, dans la province de la Tshopo.

Contexte 

Le projet de construction de la prison à Kisangani a été lancé dans le but de désengorger les établissements pénitentiaires existants, notamment la prison centrale de Makala à Kinshasa, qui souffre d'une surpopulation carcérale chronique. Cependant, des soupçons de détournement de fonds alloués à ce projet ont émergé, mettant en lumière des irrégularités dans la gestion des finances publiques.

En août 2024, lors d'une visite à Kisangani, le ministre Constant Mutamba a suspendu la directrice de la prison centrale de la ville pour détournement de fonds et de biens destinés aux prisonniers. Cette décision faisait suite à des constatations sur les conditions de détention inhumaines et les détournements présumés au sein de l'administration pénitentiaire locale .

Dans le cadre de sa politique de lutte contre la corruption, le ministre Mutamba a également ordonné l'ouverture d'une enquête judiciaire concernant un autre détournement de 5 millions de dollars américains destinés à la construction d'une nouvelle prison à Kinshasa. Cette initiative a conduit à l'arrestation de Bernard Takaishe, ancien vice-ministre de la Justice, pour son implication présumée dans ce détournement.

Réactions et perspectives

La saisine de l'Assemblée nationale pour la levée des immunités de Constant Mutamba marque une étape significative dans la lutte contre la corruption en RDC. Cette démarche témoigne de la volonté des autorités judiciaires de poursuivre les enquêtes sans entrave, quel que soit le statut des personnes impliquées.

Des organisations de la société civile, telles que l'Association congolaise pour l'accès à la justice (ACAJ), ont salué cette initiative, soulignant l'importance de garantir l'indépendance de la justice et de lutter efficacement contre les pratiques corruptrices .

Si les immunités parlementaires de Constant Mutamba sont levées, il pourrait faire face à des poursuites judiciaires pour sa gestion du projet de construction de la prison à Kisangani. Cette affaire pourrait également avoir des répercussions sur d'autres dossiers de détournement de fonds publics en cours d'enquête en RDC.

Perspective

La saisine de l'Assemblée nationale pour la levée des immunités de Constant Mutamba illustre un tournant dans la lutte contre la corruption en RDC. Elle envoie un message fort sur la nécessité de rendre des comptes et de renforcer la transparence dans la gestion des finances publiques. Il reste à voir si cette démarche aboutira à des poursuites effectives et à des sanctions appropriées.

Urgent! Affaire Prison de Kisangani : l’Assemblée Nationale saisie pour la levée des immunités de Constant Mutamba
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PROCES BUKANGA-LONZO: L'ARRET DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE ATTENDU CE 20 MAI

La Cour constitutionnelle doit rendre ce lundi 20 mai son arrêt très attendu dans le cadre du procès emblématique du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo. Lors de l’audience du mercredi 23 avril, le procureur général a requis 10 ans de travaux forcés et de servitude pénale contre l’ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo, assortis de 10 ans d’inéligibilité.

 

Deux autres coaccusés sont également visés : Déogratias Mutombo, ancien gouverneur de la Banque centrale, pour qui une peine de 5 ans d’inéligibilité a été demandée, ainsi que Christo Grobler Stephanus, homme d’affaires sud-africain, pour lequel le ministère public a requis l’expulsion définitive du territoire congolais.

 

Ce verdict est attendu avec attention, tant pour ses implications judiciaires que politiques.

 

LK

PROCES BUKANGA-LONZO: L'ARRET DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE ATTENDU CE 20 MAI
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Accord RDC-Rwanda sous USA : Massad Boulos annonce le premier projet d'accord pour la paix dans les Grands Lacs

Washington, 16 mai 2025 – Les efforts diplomatiques menés par les États-Unis dans la région des Grands Lacs franchissent une nouvelle étape. Ce jeudi, Massad Boulos, conseiller principal pour l’Afrique auprès du président Donald Trump, a annoncé la présentation d’un premier projet d’accord de paix entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda.

« Nous avons présenté un premier projet d’accord de paix aux deux parties et collaborerons avec elles pour le peaufiner afin de parvenir à un consensus. Résoudre des différends de longue date est difficile, et nous sommes déterminés à y parvenir. Nous attendons avec intérêt de poursuivre le dialogue pour parvenir à une résolution », a déclaré Massad Boulos dans un communiqué relayé sur X.

Cette annonce intervient trois semaines après la signature à Washington, le 25 avril 2025, de la Déclaration de principes entre les délégations de la RDC et du Rwanda, sous la médiation américaine, et quelques jours de la réception le 5 mai de l’année en cours des propositions des deux parties. 

Ce document de base engage les deux pays à travailler à un accord de paix global et à désamorcer une crise régionale qui s’est aggravée depuis la résurgence du mouvement rebelle M23 en 2021.

Un contexte régional sous tension

Les tensions entre Kinshasa et Kigali, exacerbées par des accusations mutuelles de soutien à des groupes armés, ont entraîné une grave détérioration sécuritaire dans l’Est de la RDC. Des centaines de milliers de civils ont été déplacés, tandis que le M23 a consolidé son emprise sur de vastes territoires dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu.

La communauté internationale, notamment les Nations Unies et l’Union africaine, appelle régulièrement à une désescalade, sans succès durable jusqu’ici. L’entrée en scène directe des États-Unis, par l’intermédiaire de Massad Boulos, marque une tentative inédite de Washington de redéfinir son rôle dans la stabilisation de cette région stratégique. Déjà, Donald Trump à plusieurs reprises a démontré sa confiance dans ce processus.

 

Une médiation liée à des intérêts géostratégiques

 

Au-delà de la paix régionale, les États-Unis entendent également sécuriser leur accès à des ressources critiques présentes en RDC, telles que le cobalt, le lithium et le coltan, indispensables à l’industrie technologique et à la transition énergétique.

Selon plusieurs sources diplomatiques, des discussions parallèles sont en cours pour établir un partenariat bilatéral entre les États-Unis et la RDC dans le domaine minier, incluant des engagements en matière de gouvernance et de sécurité.

Prochaines étapes

Le projet d’accord présenté le 16 mai aux deux parties marque le début d’un processus de négociation plus technique. L’objectif est de parvenir à un texte final consensuel, susceptible d’être signé dans les mois à venir lors d’une cérémonie officielle, potentiellement à la Maison-Blanche.

Mais la route reste semée d’embûches. La question du désarmement des groupes armés, du retour des réfugiés, de la souveraineté des territoires occupés, ainsi que celle du rôle du Rwanda dans le soutien présumé au M23, devront être traitées avec fermeté et clarté.

En dépit de ces défis, le ton résolument engagé de Massad Boulos laisse entrevoir une volonté politique forte côté américain de peser positivement sur l’avenir de la région.

 

Danny N. Yambushi

Accord RDC-Rwanda sous USA : Massad Boulos annonce le premier projet d'accord pour la paix dans les Grands Lacs
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RDC : Prétendue détournement de 39 millions destinés à la construction d’une maison carcérale à Kisangani (Le garde des sceaux et minetat en charge de la justice fixe l’opinion)

L’existence du projet est une priorité nationale dans le cadre des réformes judiciaires en cours pour le désengorgement et réhabilitation des prisons.

Le coût global du projet est estimé à 29 millions de dollars pour des travaux échéant 18 mois pour une capacité globale de 3000 places.

C’est un projet qui s’inscrit dans un programme plus large des réformes pénitentiaires, avec 4 maisons d’arrêt prévues à Kinshasa.

Eu égard aux 19 millions de dollars déposés, ils sont logés dans un compte séquestré et non encore accessibles à l’entrepreneur. Notons que le dossier est toujours sous examen à la primature et aucune décision définitive n’a encore été rendue par la Première Ministre Madame Suminwa Tuluka Judith.

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CELLCOM

RDC : Prétendue détournement de 39 millions destinés à la construction d’une maison carcérale à Kisangani (Le garde des sceaux et minetat en charge de la justice fixe l’opinion)
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CÉLÉBRATION DE LA JOURNÉE MONDIALE DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE : BOSEMBE APPELLE LES JOURNALISTES À LA DISCIPLINE

Le samedi 3 mai 2025, le monde a célébré la 32e Journée mondiale de la liberté de la presse. En République démocratique du Congo (RDC), cette journée est célébrée ce lundi 5 mai, en présence du président Félix Tshisekedi, au Fleuve Congo Hôtel à Kinshasa. Le thème retenu pour cette année est : « Le journaliste congolais face au défi de l’intelligence artificielle : information et désinformation en temps de guerre d’agression rwandaise ».

 

Lors de cette cérémonie, Christian Bosembe, président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), a souligné l'importance de la discipline et de la responsabilité dans le journalisme. Il a déclaré : « Je ne suis pas un dictateur, je ne brandis pas le bâton, je ne tiens pas le fouet, mais une chose est sûre : un pays sans ordre et sans discipline est un navire sans boussole. Je ne demande pas que l'on se taise, mais que l'on pense, que l'on pèse, que l'on vérifie ».

 

Bosembe a également mis en avant les avancées en matière de liberté de la presse sous le mandat de Félix Tshisekedi, affirmant « qu'aucun journaliste n'a été tué, arrêté ou torturé à cause de ses opinions, et qu'aucune rédaction n'a été saccagée ou fermée, contrairement au régime de son prédécesseur ».

 

Cette journée organisée par le ministère de la Communication et des Médias, en collaboration avec le CSAC et diverses organisations professionnelles des médias, dans un contexte sécuritaire marqué par l'agression rwandaise, C. Bosembe a exhorté les professionnels des médias à faire preuve de responsabilité. Il a insisté sur le fait que relayer des propos propagandistes ou attaquer les institutions de la République est contre-productif et contribue à fragiliser la nation. Il a souligné que les journalistes congolais sont parmi les plus libres de la région, capables de poser des questions critiques sans crainte de représailles.

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